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Posted in Inspiration cycliste

5 trucs que les cyclistes détestent

5 trucs que les cyclistes détestent Posted on 21 février 2016

Photo Pédaleur

Bon soyons clairs, cet article au second degré est écrit par un cycliste presque ‘névrosé de la bicyclette’ tant le vélo fait partie de moi 😉 Aujourd’hui je réalise après tant d’années à rouler, une sorte d’auto psycho-analyse de petites choses qui insupportent les cyclistes (et il y en a beaucoup !).

Mise en garde : si vous ne connaissez pas encore ce milieu, vous pourriez nous trouver bizarre, mais ne vous inquiétez pas nous avons aussi beaucoup de bons côtés ! Le sujet d’un prochain article ?

TOP 5 des choses qu’on n’aime pas, mais alors vraiment pas dans le vélo

 

5 – « Allez ils sont pas loin »

Vous êtes seul. Minablement lâché. Vous avez l’impression d’avoir deux ‘poteaux en bois’ à la place de vos jambes, vous subissez un véritable « coup de bambou » et n’en n’êtes pas fier, voire énervé. Vous ne reviendrez jamais sur le groupe devant. Heureusement des ‘supporters inattendus’ sont là (et croyant bien faire) vous lâchent un « allez ils sont pas loin ». Vous faites semblant de n’avoir rien entendu…

4 – Ce bruit insupportable sur son vélo

Sans faire de mauvaises allusions avec les derniers événements et rumeurs de vélos électriques, le cyclisme est un sport mécanique – de la mécanique de précision.

Quoi de plus énervant lorsque vous roulez que d’entendre ce petit crissement, cliquetis et autres frottements à chaque tour de pédale ? Vous-vous contorsionnez sur votre vélo, demandez à votre collègue d’entrainement s’il ne voit rien, vous arrêtez, faites tourner vos roues, manivelles de pédalier. Rien, le bruit semble avoir disparu. Vous remontez en selle et au premier coup de pédale le bruit revient. Dommage vous allez devoir le supporter jusqu’à la fin de la sortie…

3 – Se faire « sucer la roue »

S’il y a bien une chose que les cyclistes détestent, dans n’importe quel coin de la planète, c’est qu’un autre coureur reste collé dans sa roue bien a l’abris derrière pour profiter de l’aspiration et de votre « travail ». Il faut quand même nuancer car il y en a deux types  :

Celui qui est complètement cramé et qui n’a pas le choix. Vous êtes un peu sa roue de secours. Du coup, comprenant la situation, vous en profitez même pour accélérer un peu dans les faux plats pour montrer que vous êtes plus fort en lançant un « allez c’est bientôt fini ». Vous ne devriez pas être fier de vous !

Mais il y a aussi celui qui vous fait croire qu’il est complètement cramé. Nuance cruciale, il ne l’est pas et bluffe. Il n’aura aucun remord à venir vous coiffer sur la ligne. Dommage hein ?

2- Les pâtes trop cuites

Vous êtes bien entrainé et affuté. On approche de l’É-V-É-N-E-M-E-N-T. La veille de la cyclo ou de la course,  la pression arrive et le cycliste devient facilement irritable. Préparez-lui un plat de pâte trop cuites et là c’est le drame.
Un peu divas ces cyclistes ? Non pas du tout (..ou presque).

1 – Le bidon qui fuit

Alors là on arrive au summum de la chose qui énerve le plus les cyclistes. En tout cas personnellement c’est la chose que j’appréhende le plus à chaque fois que me vient l’envie de boire un coup à vélo.

C’est l’été, il fait une chaleur épouvantable vous êtes complètement déshydraté. Vous saisissez votre bidon (de boisson sucrée) et vous apprêtez à boire mais malheureusement votre bidon fuit ou est mal fermé. Bonjour le sucre de partout, vous êtes collant jusqu’à la fin de la sortie.

La morale de cette histoire ? Nous cyclistes, on peut le dire, nous sommes ‘presque pénibles’ et des fois c’est bien se l’avouer. Après tout ce n’est « que » du vélo.

Bon dimanche,
Benjamin